Gwendoline a démarré les festivités en nous présentant "La Parure" de Guy de Maupassant (5/5). Gwendoline a beaucoup aimé les nouvelles de Maupassant. Il décrit merveilleusement bien ses personnages. Une très belle écriture réaliste et ironique sur son époque. Un classique indémodable.
Patricia a poursuivi avec "Nous rêvions juste de liberté" d’Henri Loevenbruck (4.5/5). Formidable roman initiatique sur l’amitié ainsi qu’un grand récit d’aventure. Hugo se lie d’amitié avec une bande de motards. Un road trip à lire absolument. Devenu culte !
Laurine a lu "Le Royaume des damnés" (tome 2) de Kerri Maniscalco (5/5). Pour les amateurs de « romantasy », la suite tant attendue du "Royaumes des Damnés". On retrouve les aventures d’Emilia qui enquête sur la mort de sa sœur et veut la venger. En épousant Orgueil, elle est devenue la reine des enfers. Amour et diablerie.
Jessica (3/5) et Mendy (5/5) nous ont parlé de "Trouble maker" (tome 1) de Laura Swan et ont deux avis complètement opposés sur ce livre. Jessica s’est ennuyée pendant la lecture de cette « dark romance » alors que Mendy a adoré cette histoire d’amour où une jeune fille tombe amoureuse d’un inconnu tout à la fois cambrioleur et professeur de maths. Une suite va arriver.
Alizéa nous a présenté "Entretien avec un cadavre" de Philippe Boxho (4/5). Les chroniques d’un médecin légiste qui raconte son travail à la morgue. Très gros succès du moment.
Laurence a lu "On m’appelle Demon Copperhead" de Barbara Kingsolver (Prix Pullitzer et le Women’s prize for fiction) (5/5). Laurence a été bouleversée par ce roman. C’est l’histoire d’un gamin de 10 ans racontée avec ses propres mots. Un personnage digne de ceux de Dickens. Ce garçon va rencontrer les pires épreuves et les pires injustices que peuvent rencontrer les pauvres. Le portrait d’une Amérique ravagée par les inégalités et la crise toujours actuelle des opioïdes (des dizaines de milliers de morts par an par overdose). Ce roman est aussi ouvert sur l’espoir et la résilience. Un très très grand roman. A lire absolument.
Mélina nous a parlé de "La dernière allumette" de Marie Vareille (5/5). Abigaëlle vit recluse dans un couvent. Son frère est un brillant artiste à Paris. Lorsque celui-ci rencontre la belle Zoé, Abigaëlle l’apprend, elle est terrifiée car elle seule connait les secrets cachés de son frère. Des personnages magnifiques pour ce suspense psychologique intense. Un très gros coup de cœur de Mélina.
Caroline nous a présenté "La femme en vert" d’Arnaldur Indridason (4/5). Déjà présenté. Un magnifique roman sur le drame de la violence conjugale. Un suspense psychologique qui nous montre les différentes facettes de la société islandaise. Excellent.
Christelle a lu "Le syndrome du spaghetti" de Marie Vareille (5/5). Léa passionnée de basket rêve de devenir professionnelle. Son père meurt du syndrome de Marfan ; malheureusement, Léa et sa sœur sont également porteuses de la maladie. Son avenir s’écroule. Elle rencontre Anthony, un jeune de la cité et va apprendre à se réinventer. Des personnages magnifiques ; un roman sur la résilience et le courage. Une lecture bouleversante et aussi pleine d’espoir. Préparerez vos mouchoirs !
Bernadette nous a parlé de "L’origine des larmes" de Jean-Paul Dubois (5/5). Paul tue son père… il était déjà mort à la morgue. Pourquoi Paul a-t-il commit cet acte ? C’est le récit d’un homme blessé qui haïssait son père pour avoir fait souffrir sa femme et son fils. Il est condamné et doit suivre une psychothérapie où il va raconter sa vie tout au long des séances. Un roman sombre et touchant que Bernadette a beaucoup apprécié.
Gérard nous a présenté "Shangri-La" de Mathieu Bablet (4.5/5). Une magnifique BD de science-fiction. La terre est devenue inhabitable et les gens vivent dans une gigantesque station orbitale. Des dessins et des planches de toute beauté pour les amateurs du genre.
Thérèse-Marie a lu "La sage-femme d’Auschwitz" d’Anna Stuart (5/5). Ana est sage-femme et lorsqu'elle arrive à Auschwitz, son travail sera de donner naissance aux enfants des autres prisonnières qui seront dès leur premier cri arrachés à leurs mères et donnés à des familles allemandes. Ana commence à tatouer les bébés avec les numéros de déportées de leurs mères. Et si grâce à ce petit geste, ces enfants et leurs mères pouvaient se retrouver ? Un roman bouleversant sur l’horreur des camps nazis.
Nathalie nous a parlé de la série de bande dessinée "Laowai" de Besse et Bollée (5/5). Une grande fresque historique sur la Chine de l’époque coloniale pendant la guerre de l’opium. Très précise et documentée, cette série nous fait découvrir un univers passionnant.
Anne-Laure a lu "Les blessures du silence" de Natacha Calestrémé (4/5). Une femme a disparu, est-elle morte ? S’est-elle enfuie ? Enlevée ? Un suicide ?? L’enquête menée va nous ouvrir les yeux sur les violences psychologiques à huit clos. Ce petit polar peur être d’une aide précieuse.
Pour finir, Antoine nous a présenté "Papi Mariole" de Benoît Philippon (4.5/5). Dans la lignée du mémorable "Mamie Luger", cette fois-ci Benoît Philippon nous campe un personnage tout aussi truculent. Papi Mariole s’échappe de l’Ephad ; il est atteint de la maladie d’Alzheimer. Or, il s’avère que c’était un tueur à gage hors pair. Il a une dernière mission à accomplir mais bien-sûr, il ne sait plus laquelle. Il va être aidé dans sa quête par Mathilde, pauvre fille victime de pervers sexuels. Un roman drôle mais aussi émouvant sur deux êtres attachants.